steyr-mannlicher 1905

...je pense que vous en connaissez déjà la photo...en chair et en os, c'est moins sûr ...l'animal se fait rare, d'autant que si un pétard n'a jamais courru nos contrées, c'est bien celui-là.

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...celui que j'ai possédé ressemblait à cette photo comme un frère, même les piqûres !

...quand j'y verrai un poil plus clair, je vous en toucherai deux mots : il en vaut la peine

...seule condition : avoir été sages ...même ceux du fond, qui bavardent sans cesse

C'est quoi ce truc

J'en ai vu plusieurs l'année dernière à la bourse aux armes de Lausanne ...
C'est un ancêtre qui a sa place dans l'aristocratie du pistolet ...
J'attends avec impatience de lire ce que va en dire robert !

Magnifique.
marché européen ou revenu d'amérique latine ?

Cartouches en 4ème catégorie, l'arme aussi contrairement au Mannlicher modèle 1900 de même calibre qui est en 8ème catégorie. A moins d'une erreur de ma part.

extrait de l'arrêté du 7/09/1995 !


Sont classées en 8e catégorie (paragraphe 1) les armes qui figurent dans les tableaux suivants :

a) Dénomination, modèle, calibre :

Fusils, carabines et mousquetons Gras, 1874, 11 mm.

Fusils Kropatchek, 1878, 11 mm.

Revolvers de marine, 1870, 11 mm.

Revolvers d'ordonnance, 1873-1874, 11 mm.

b) Pays d'origine, dénomination, marque, modèle, calibre métrique :

Allemagne :

Revolver dit "Zig-Zag" : Mauser, 1878 7,6, 9 et 10,6 mm.

Revolver réglementaire de l'armée : Commission revolver, 1879-1883, 10,55 mm.

Pistolet à répétition Mauser : Waffen FBK Mauser, C. 1886, 7,6 mm.

Pistolet à répétition et magasin rotatif : Bittner, 1890, 7,7 mm.

Pistolet semi-automatique : Mieg-Heidelberg, 1895, 6,65 mm.

Pistolet semi-automatique : Bergmann, 1893, 1894, 1895, 1896, 5, 6,5, 7, 8 mm.

Pistolet semi-automatique Schwarzlose "Standart et Perfekt" :

Schwarzlose, 1894-1896, 7,65 mm.

Pistolet semi-automatique : Borchardt, 1894, 7,65 mm.

Pistolet semi-automatique Mannlicher : DWM Steyr, 1894, 6,5 mm R.

Carabine semi-automatique d'origine : Mauser, 1896-1900, 7,63 mm.

Revolver Bâr à 4 coups, 2 canons superposés : Sauer-Sohn, 1897, 7 mm.

Pistolet semi-automatique Bergmann "Bayard" : Bergmann, 1898-1899, 7,5 mm.

Pistolet semi-automatique Bergmann : Simplex, 1901, 8 mm.

Carabine semi-automatique d'origine : Luger (Parabellum), 1900-1902, 7,65 mm.

Pistolet semi-automatique Adler : Waf-Hermsdorff, 1905, 7,25 mm.

Pistolet semi-automatique Mann : F. Mann-Werk, 1919, 6,33 mm.

Pistolet semi-automatique Liliput : Waffen FBK Menz Suhl, 1927, 4,25 mm Liliput.

Autriche :

Pistolet à répétition Passler-Seidl : Passler, 1887, 7 mm.

Pistolet semi-automatique "Mannlicher" : O.W.G. Steyr, 1894, 8 mm.

Pistolet semi-automatique "Mannlicher" : O.W.G. Steyr, 1894, 6,5 mm R, 7,6 mm R.

Pistolet semi-automatique "Mannlicher" : O.W.G. Steyr, 1896, 7,6 mm R.

Pistolet semi-automatique "Mannlicher" : O.W.G. Steyr, 1896, 8 mm spécial.

Pistolet semi-automatique "Mannlicher" : Schwarzlose et Männlicher, 1896, 7,63 mm.

Pistolet semi-automatique "Mannlicher" : Schwarzlose et Männlicher, 1900, 7,63 mm Mannlicher.

Pistolet semi-automatique Erika (petit et grand modèle) :

F-Pfannl, 1910-1913, 4,25 mm Liliput.

Pistolet semi-automatique Kolibri : F-Grâbner, 1913-1920, 2,7, 3 mm.

Belgique :

Pistolet double de gendarmerie Rolling Block : Nagant, 1877, 9,4 mm.

Revolver d'ordonnance : Nagant, 1878, 8, 9,4 mm.

Pistolet à répétition Francotte : Francotte, 1896, 7,65, 8 mm Francotte.

Pistolet semi-automatique Clément : Clément, 1903, 5 mm Clément.

Espagne :

Pistolet semi-automatique Charola Anitua : Garaté Anitua, 1897, 5 mm Clément.

Revolver semi-automatique Zulaica : Zulaica, 1910, 5,5 mm Velodog.

France :

Tous pistolets à répétition tels que Rouchouse, Merveilleux, Gaulois : Manufrance Saint-Etienne, 1880 à 1890, 8 mm.

Pistolet à répétition Berger : Berger, 1881, 7 et 8 mm.

Pistolet à répétition Protector : Turbiaux, 1882, 6 et 8 mm.

Revolver d'ordonnance : Manufacture d'armes de Saint-Etienne (M.A.S.), 1885, 11 mm.

Revolver d'ordonnance : Manufacture d'armes de Saint-Etienne (M.A.S.), 1887, 8 mm.

Pistolet semi-automatique des frères Clair : Manufacture d'armes de Saint-Etienne (M.A.S.), 1888, 8 mm.

Revolver à 12 coups dit "Explorateur mitraille" 2 canons juxtaposés : Manufacture Saint-Etienne, 1888, 6 mm Vélodog.

Revolver à 16 coups dit "Le Terrible" 2 canons superposés :

Manufacture Saint-Etienne, 1888, 7,65 mm.

Revolver à 20 coups dit "Le Redoutable" 2 canons superposés :

Manufacture Saint-Etienne, 1888, 6,35 mm. Revolver d'ordonnance dit "A pompe" : Manufacture d'armes de Saint-Etienne (M.A.S.), 1892, 8 mm.

Grande-Bretagne :

Revolver d'ordonnance MK 1 et 2, calibre 476 : Enfield, 1880, 12,4 mm.

Pistolet réglementaire d'officier à 2 et 4 canons, calibre 455 et 476 : Lancaster, 1881, 11,5 et 12,4 mm.

Revolver Webley Ric, calibre 450 ou 455 : Webley & Scott, 1, 2, 3 et 4 modèle 1868-1876, n° 1 modèle 1883, 11,4 ou 11,5 mm.

Revolver Webley Ric, calibre 320, 380 ou 450 : Webley & Scott, British Bulldog (anglais ou belge), 1869-1900, 8, 12 ou 9,6 ou 11,4 mm.

Pistolet semi-automatique Gabbett-Fairfax "Mars", calibre 455 :

Webley-Mars, 1895, 11,5 mm.

Pistolet semi-automatique Gabbett-Fairfax "Mars", calibre 45 :

Webley-Mars, 1900, 11,5 mm.

Revolver automatique réglementaire Fosberry, calibre 455 : Webley, 1902, 11,5 mm.

Italie :

Revolver d'ordonnance Glisenti : Glisenti, 1878, 10,35 mm.

Norvège :

Revolver à éjecteur automatique Landstad à 6 coups : H.F. Landstad, 1889, 7,5 mm Nagant.

Suède :

Pistolet semi-automatique Hamilton : Torrsin Sons Alingsas, 1901, 6,5 mm Bergmann.

Suisse :

Revolver d'ordonnance Schmidt-Rubin : Schmidt-Rubin, 1872, 10,4 mm.

Revolver d'ordonnance Schmidt-Rubin : Schmidt-Rubin, 1878, 10,4 mm.

U.S.A.

Revolver à piston à poudre noire transformé pour le tir de cartouches métalliques suivant les brevets Tuher, Mason, Mason-Richard : Colt, 1849-1851, 1855-1860 à 1862, sans distinction.

Revolver n° 3 First Model American, calibre 44 S.W. et 44 Henry :

Smith and Wesson, 1869, 10,55 et 11,28 mm.

Revolver n° 3 Second Model American, calibre 44 S.W. et 44 Henry :

Smith and Wesson, 1869, 10,55 et 11,28 mm.

Revolver Russian 1er modèle, calibre 44 S.W. et 44 Henry : Smith and Wesson, 1869, 10,55 et 11,28 mm.

Revolver Russian 2e modèle, calibre 44 S.W. et 44 Henry : Smith and Wesson, 1869 à 1878, 10,55 et 11,28 mm.

Revolver Russian 3e modèle, calibre 44 S.W. et 44 Henry : Smith and Wesson, 1869 à 1878, 10,55 et 11,28 mm.

Revolver New model n° 3 Turkish Model, calibre 44 R.F : Smith and Wesson, 1869, 11,15 mm.

Pistolet semi-automatique de poche "Rider", magasin tubulaire à 5 cartouches, calibre 32 R.F : Remington, 1871, 8 mm.

Revolver "Open Top Frontier", calibre 44 R.F : Colt, 1872, 11,2 mm.

Revolver Schofield, 1er et 2e type, calibre 45 S.W : Smith and Wesson, 1875, 11,4 mm.

Revolver-carabine 320 S.W : Smith and Wesson, 1879, 8 mm.

Revolver "Navy", calibre 38 et 41 long et court : Colt, 1889, 9 et 10,3 mm.

Pistolet semi-automatique, calibre 38 : Colt, 1900, 9 mm.

Revolver "Lady Smith", calibre 22 : Smith and Wesson, 1902, 5,6 mm.

Armes et éléments d'arme affectés par la mise en

...comment cette gentille pétoire a fini entre mes mains, c'est une longue histoire que je ne peux raconter, car il y a des survivants ...en tout cas, il y a prescription depuis belle lurette, et administrativement, tout s'est terminé dans les règles ...à cette époque reculée, c'était encore possible...

...première impression : l'arme a l'air fluette, voire maigrichonne, jusqu'à ce qu'on la prenne en main : là, le revirement de situation est spectaculaire : çà s'empoigne, avec une densité de métal qui se fait sentir "tout dans la main"...la poignée a un "design" parfait, et convient à toutes les tailles de mains...le pointage tombe toujours pile-poil : du grand art signé Steyr-Mannlicher.

...l'usinage est à l'avenant ; si l'extérieur était un peu piqué sur le mien, l'intérieur valait celui d'un p08 ; quant à l'ajustage, en lisant la signature, vous avez tout compris

...hausse fixe, guidon monté sur queue d'aronde, prise de visée idem p08.

...chargement par lame-chargeur de 10 cartouches, qui rentrent par le haut une fois la culasse ouverte : c'est là que çà s'est gâté ; si vous avez au moins une lame-chargeur, c'est bien, sinon, c'est la galère ; une fois la première cartouche en place, la culasse se referme sur vos doigts mignons ...bon, après le premier sparadrap, on prend le coup, mais c'est une nuisance permanente : çà use , et çà m'a usé...

...je vous parlerai de quelques essais, de la mun. et autres broutilles quand j'y verrai mieux ; sachez que si un jour, l'occasion se présente, faut pas la laisser passer...surtout de nos jours...je vous donnerai les expliquements plus tard

***** pour répondre à une question, cette arme venait d'Amérique du Sud...c'était marqué dessus, mais pour tout dire, j'ai oublié le pays...peut-être Republica Argentina

Robert R@ndi a écrit:...comment cette gentille pétoire a fini entre mes mains, c'est une longue histoire que je ne peux raconter, car il y a des survivants ...en tout cas, il y a prescription depuis belle lurette, et administrativement, tout s'est terminé dans les règles ...à cette époque reculée, c'était encore possible...

C'est encore possible de régulariser la situation :
le découvreur fait une déclaration ou une lettre manuscrite signalant cette mise en possession par héritage, legs, découverte dans le grenier du Grand-père etc en demandant le délai prévu (3 mois) pour régulariser la situation comme cela est prévu par le Décret 95-589. Il faut demander une attestation de déclaration. Cette démarche est normalement à faire auprès du service de Police ou de Gendarmerie du domicile. Si ça bloque, contact à prendre avec le service "armes" de la Préfecture ou Sous-Préfecture (selon les us et coutumes du département).
Ce délai et l'attestation permettront pour l'heureux possesseur de l'arme, pendant ce délai de :
l'amener chez un armurier pour mise en vente,
ou de le vendre légalement à un titulaire de l'autorisation d'acquisition nécessaire (transfert effectuée auprès de la Gendarmerie ou Police du domicile)
ou de demander l'autorisation nécessaire si le possesseur est déjà membre de le FFTir.

...@ Pascal68 : je suis bien content des précisions que tu apportes : le fait que celà ne soit pas faisable pourrait inciter à l'illégalité ...y'a des gens méchants partout...

...donc, j'avais l'arme ; des cartouches, on m'en avait donné tant et plus (même plus), bref, une mane inespérée...puis, j'y ai regardé de plus près , et çà m'a fait bizarre ...dans le genre "vous avez commis le crime parfait ; votre alibi est en béton ; traces et indices ont été méticuleusement nettoyés ; tout mobile a été soigneusement dissimulé, bref, vous vous croyez le maître à bord ; c'est alors qu'on sonne à votre porte : c'est le lieutenant Columbo...à partir de là, les emm...nnuis commencent"

...les cartouches, pour la plupart encore conditionnées, c'était du 7,65 Long, "pour pistolet", de fabrication très française ; même si "on" m'avait dit que çà avait été testé dans l'arme et que çà marchait bien, j'ai ressenti un soupçon d'angoisse...

...je suis allé montrer tout çà à Dieu en personne : il eût deux réactions parfaitement contradictoires ; devant l'arme, les yeux brillants de convoitise , il a dit "pétard, çà, je vous l'échange contre ce que vous voulez !"...puis devant les mun. : "malheureux, ne tirez jamais çà dans cette arme !"

...nous étions dans les années 70, sans internet ; le rechargement balbutiait en France, et se limitait à trois calibres en armes de poing : 38/357, 9mm et .45 La moindre pièce ou outil commandé aux USA mettait au moins six mois à venir, dans le meilleur des cas ; le plus souvent, rien du tout : notre pays n'était qu'un marché négligeable...je crois que çà a à peine changé : pour Smith & Wesson, par exemple...

...de fil en aiguille, Dieu accepta de m'aider : il se ferait un plaisir de monter les cartouches avec la bonne charge , mais il fallait lui fournir étuis et balles séparés ...

...c'est suite à celà que j'ai eu une indigestion de marteau à intertie ; il m'en a fallu deux pour venir à bout de 200 cartouches (ils étaient moins solides que maintenant), quant au temps que j'y ai passé , ma mémoire préfère l'oublier.

...la chose fut bien faite, car au stand, ce Steyr-M. est un bijou : faible recul, fonctionnement irréprochable, groupements fascinants ...seul le remplissage du magasin porte atteinte aux nerfs (mais aussi aux doigts !), même solides

...la visée est identique à un p08 : en gros, hausse fixe, guidon monté sur queue d'aronde ; le système est pareil à un 7,65 ordinaire, "blow-back". Le chien, aussi large que la culasse, est "étrange" ; peut-être faut-il trouver l'explication dans le fait que cette arme était destinée à des cavaliers...quant au système de chargement par lame ad-hoc, ce n'est pas plus sot qu'autre chose (si on en a)...surtout à cheval ! simplicité de démontage et d'entretien assurée

...la qualité de la construction implique que, correctement rechargé, l'engin soit increvable. L'ajustage ne souffre aucune remarque : la signature de l'arme vous a tout dit

...quand on a un pistolet vraiment agréable en main (ô combien !), qui marche bien et qui tire (très) droit même avec des mun. pas exactement aux côtes, faut pas pleurer la bouche pleine ...pourtant, peu de temps après, j'ai craqué : le circuit exigé pour avoir des mun. était par trop fastidieux...je m'en suis ouvert au Maître, qui m'a fait une proposition "que je ne pouvais pas refuser" : çà a fait deux heureux

...çà, c'était il y a bien longtemps : même trouver un étui rechargeable n'était pas à envisager ; mais si c'était maintenant, je vous le dis tout de suite : ...on peut tout trouver pour que çà marche...et le tube est en 308, donc, no problem.

...ma conclusion : arme étrange autant qu'élégante, je comprends qu'elle ait séduit ; n'oubliez pas qu'on était en 1905, et il n'y avait guère de rivales, en automatique avec magasin de dix coups...trente ans après, l'armée française adoptait les discutables PA 35 : chez nous, on n'avait guère progressé, côté puissance de la mun.

...de nos jours, l'aspect "collection", d'accord, mais avec un peu de savoir faire, on peut l'utiliser et se faire vraiment plaisir : si le Diable venait à vous tenter, vous le savez

Ce que je n'arrive pas à comprendre avec ce bijou, c'est qu'il n'est toujours pas reclassé en 8ème catégorie, d'autant plus que le modèle 1900 l'est.
Le malhonnête qui par une chance pas possible en récupérerait un, gagnerait plus à le revendre comme arme de collection qu'à faire un braquage avec.

...elle est plutôt confidentielle chez nous, mais il est toujours intéressant de savoir la chose ; j'ai pompé les côtes et performances sur le net, car les seuls rechargements que j'ai trouvé sont donnés avec des poudres américaines n'ayant pas d'équivalent chez nous.

...la mise en place des caractéristiques est malaisée : je vous la livre du mieux que j'ai pû

TypeProduction historySpecificationsBallistic performanceBullet weight/typeVelocityEnergy

Pistol
lieu de naissance :[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
année (mun.) : 1901
type d'étui : Rimless, straight : étui droit (ce qui n'est pas l'exacte vérité )
balle : .308 in (7.8 mm) : diamètre du projectile
collet : .331 in (8.4 mm)diamètre du collet
base étui : .332 in (8.4 mm)diamètre de la base
bourrelet : .334 in (8.5 mm)un tout petit bourrelet
épaisseur bourrelet : .030 in (0.76 mm)
longueur étui : .84 in (21mm)
longueur mun. : 1.12 in (28 mm) LHT
1 in 10 pas des rayures : 1 tour pour 25cm
B amorçage Berdan
performance de la cartouche : 85 gr (6 g) FMJ	1,100 ft/s (340 m/s)	227 ft·lbf (308 J)

...en bref, côté performances, par rapport au 7,65 "court - 32ACP", c'est un 7,65 musclé, avec la même vitesse qu'un 7,65 Long français, mais un poids de balle un peu inférieur = dispense de verrouillage.

...si je devais aujourd'hui monter des cartouches, je prendrais le projectile de la 7,65 Browning, d'un poids autour de 70 grains...en cherchant une charge équivalente à 2/3 de la 7,65 Long, il y a une base de départ pour travailler comme il faut, mais attention : ce n'est qu'une hypothèse de travail, et pas une donnée de rechargement : tout est à faire en ce domaine !

...mais si on me donnait un Steyr-Mannlicher 1905 , je vous promets de m'y atteler !

...hélas, les miracles ne se reproduisent pas souvent

Dans le "cibles" de ce mois ci (janvier 2013 en fait) un article de Jean Huon, consacré à la bête.

...une enquête alentour : "Cibles" est inconnu au bataillon

...les plaisirs de la France profonde

...celui qui me trouve le numéro cité par Gabelou a droit à ma reconnaissance éternelle, et plus si affinités !

G@belou est peut-être abonné à la revue...

D'où réception plus tôt chez lui !

À vérifier !

...je me contenterai d'une copie de l'article sur la bête...voire un pdf pour que le forum en profite...des fois que le Bon Dieu regarde de notre côté

Effectivement, je suis abonné, je ne sais pas s'il est sorti en kiosque.
En tant qu'ardent défenseur de la propriété intellectuelle, je ne peux pas faire de copie, bien sur.
Si tu n'arrives pas à l'avoir, fais moi signe (par MP ou par mail si tu as gardé le mien).
Je ne suis pas collectionneur et je ne jette pas non plus.